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QUAND LES BARBARES
SAUVENT ROME

Que s’est-il vraiment passé en cette mi-septembre  -52, à une demi-journée de marche d’Alésia ?

Si on en croit Jules César dans la Guerre des Gaules, Vercingétorix aurait fait jurer à ses 15 000 cavaliers qu’ils ne rentreraient pas à la maison avant d’avoir traversé par deux fois la colonne de César.

 

Elle s’étire sur 30 km, mais reste forte d’environ 60 000 légionnaires, 10 000 mercenaires à cheval et 30 000 civils pour l’intendance. De son côté, Vercingétorix ne fait donner que la cavalerie, ses 80 000 fantassins restant à l’abri des collines environnantes. Et il ne sait pas que César a recruté des cavaliers germains.

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Deux groupes de cavalerie gauloise attaquent sur les flancs de la colonne, au niveau des bagages moins bien protégés, et un troisième barre la route à la tête de celle-ci. Mais les Romains se regroupent sur les flancs du convoi, et forment un mur de défense autour des bagages. César fait donner le peu de cavalerie romaine qu’il lui reste pour ralentir l’attaque gauloise.

 

Pendant ce temps, on va chercher les mercenaires germains : Sicambres, Ubiens et Tinctères. Ils surgissent par surprise de derrière les formations romaines, et prennent les Gaulois sur leurs flancs. Ces derniers sont mis en déroute, et poursuivis jusqu’à tard dans la nuit par les légions.

 

Vercingétorix, qui a refusé d’engager toutes ses réserves, décide du repli sur l’oppidum mandubien d’Alésia.

 

Et la suite, c’est vous qui la choisirez.

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